On devait partir. On doit toujours partir, enfin revenir. C'est comme un retour aux sources. On part en disant "A l'année prochaine !" C'est une évidence.
Et puis en fait non. Un coup dur travaillesque qui remet tout en cause. Le deuil impossible des vacances. On trouve les bons côtés "on va rester tranquilles, on va faire de chouettes choses tous les 5"... N'empêche. Sans ce bol d'air pur, iodé, breton, sablé, morgatois, les vacances n'en sont pas. Pas au sens bouboulesque du terme.
Et puis parce que ce sens n'est pas que le mien, finalement, on part. Les poussins sont ravis, moi aussi, ouf ! Parce que j'avais beau faire bonne figure devant eux, j'étais vraiment défaite à l'idée de ne plus avoir le choix.
On ne choisi pas sa famille, mais souvent, heureusement qu'on l'a.
J - 12 :D
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