Chez Bouboulette...

Synopsis :
Allociné

Ethan Wate, un jeune lycéen, mène une existence ennuyeuse dans une petite ville du sud des Etats-Unis. Mais des phénomènes inexplicables se produisent, coïncidant avec l’arrivée d’une nouvelle élève : Léna Duchannes.

Malgré la suspicion et l’antipathie du reste de la ville envers Léna, Ethan est intrigué par cette mystérieuse jeune fille et se rapproche d’elle. Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.

Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…

Mon avis :

La mauvaise langue qui m'accompagnait vous dira surement que j'ai dû trouver ça nul puisque je me suis endormie...! En fait, j'étais vraiment HS, et c'était une première pour moi de m'endormir au cinéma... La honte ! Mais je ne pense pas en avoir loupé beaucoup !
Ce film est une adaptation du roman 16 Lunes que j'avais beaucoup aimé, mais clairement dédié aux ados !
Le film est très chouette, avec un Ethan très touchant, j'ai été encore plus attiré par son personnage là que dans le film. J'ai bien aimé le jeux des acteurs, et je me suis régalée des paysages, et des costumes.
Hâte de voir la suite, puisque je ne l'ai pas lue !

Source photo

Mais pourquoi ça vous émeut, ça compte autant ?

Ou à l'inverse, pourquoi ça vous débecte, vous saoule autant ?!

C'est rigolo, chaque année, de voir les pro et les contre la Saint Valentin !

Je n'aime pas trop le commercial qu'il y a autour, mais d'un autre côté... Qui n'est pas trop déçu de ne rien recevoir ce jour là ? Et puis certaines personnes ont besoin de ce matraquage pour s'en souvenir... Après tout, c'est quand même toujours l'attention, l'intention qui compte, alors pourquoi pas ? C'est malgré tout mignon tout ça.

Je suis juste un peu triste pour les gens qui sont seuls et pour qui ce n'est pas un choix, et pour qui forcément, ça ne doit pas être super évident tout ce tapage autour d'une journée, qui finalement, reste comme les autres !

Moi, je suis une guimauve, une infinie romantique dans l'âme mais la Saint Valentin ça me fait un peu ni chaud ni froid. J'aime l'idée d'une fête des amoureux. J'aime l'idée de trouver le présent, l'attention, ou même juste les mots qui raviront l'Autre. Je n'aime pas le côté 'aujourd'hui, 14 février, je suis obligée de..'.

J'aime l'idée du cadeau sans raison. Du petit mot caché, au cadeau 'comme ça', en passant par le bouquet de fleurs 'pourquoi pas ?!'. Juste l'envie de faire plaisir. Et à tous les gens qu'on aime.

Alors bonne fête à ceux qui veulent ! ♥

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Photo AlloCiné.

Synopsis :

Max a 6 ans. Elle vit avec son père Toni, un petit voyou au grand cœur. Pour Noël, Max décide de lui offrir Rose, une fille de joie rencontrée dans la rue et qu’elle a prise en affection. Malgré la situation compliquée, Toni va avoir du mal à refuser le « cadeau » de sa fille et devoir cohabiter avec Rose.

Mon avis :

Je n'étais pas partie pour voir ce film, parce que je n'aime pas JoeyStarr. Mais bon, en tant qu'acteur, c'est quand même la 3ème fois (L'Amour dure 3 ans ; Polisse) que je suis bluffée par son jeu, alors...
J'ai carrément adoré le trio Seigner/Marielle/Starr, qui fonctionne vraiment très bien, et pourtant, physiquement parlant, c'était loin d'être gagné !
Une jolie comédie, avec une petite fille très attachante ; un bon moment à passer, où l'humour a une bonne place, les belles émotions aussi. Et même si tout est prévisible, la dose de bien être qui s'en dégage est très agréable !

J'ai donc été agréablement surprise et je recommande ce film !

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Image trouvée sur Pinterest... Rien à voir avec la choucroute, mais je ne savais pas comment illustrer ce billet, et j'adore les hippocampes !

Cela fait longtemps que je pense à cet article, que je le façonne, que je le tourne dans ma tête, que j'essaie de choisir les mots justes. Je sais que ce ne sera pas parfait, et que je vais certainement employer de mauvais termes, mais je vais essayer quand même !

J'ai grandit dans une famille provenant d'un milieu aisé, maman aimant à répéter que nous étions de la petite bourgeoisie. Je n'aimais pas du tout quand elle disait ça... Mais c'était vrai.

Je crois qu'on ne peut pas attribuer les préjugés à un milieu social, il n'empêche qu'il me semble que chaque milieu en favorise certains. Pour tout, pour rien, pour des genres de personnes, pour des faits, des plus ou moins accentués... Bref, plus je grandis, plus je découvre un nouveau style de vie, plus je me rends compte que j'en suis pleine, de préjugés... Mais que je veux que ça change.

J'ai assez rapidement compris, quand j'ai réellement commencé à côtoyer d'autres familles (vers mes 14 ans) et que je me suis retrouvée confrontée à de l'incompréhension totale, entre moi pleine des préjugés de mes parents qui débitais les choses entendues à la maison, et les autres, pleins d'autres préjugés, et pas les mêmes, en l’occurrence !

Ce fût une succession de grosses claques. Parce que j'ai vraiment mis du temps à comprendre d'où venait le 'problème'. Je ne rentrerais pas dans les détails des choses dites, parce que maintenant j'ai même honte de certaines, mais encore aujourd'hui, je trouve parfois difficile de s'en défaire... Malgré la lucidité dont j'essaie de faire preuve.

Et je me demande quels genre de préjugés j'inculque malgré moi à mes enfants ? J'espère que je ne leur gâche pas d'entrée de jeu leur 'base' de connaissances, j'espère qu'ils sauront rester conscients des réalités qui les entourent ! J'essaie de faire attention aux bêtises, aux phrases toutes faites qu'on dit sans même plus s'en rendre compte, aux étiquettes qu'on colle sans y faire attention... mais j'imagine que pas mal de choses passent malgré tout. J'essaie aussi de souvent préciser que MOI je vois les choses comme ça, mais que pour beaucoup d'autres personnes, c'est complètement différent, et que EUX auront peut être encore un autre avis plus tard.

Je ne dis pas que j'en veux à mes parents, ou bien qu'ils ont mal fait, non. Je me positionne juste en tant que maman d'enfants assez vifs et en perpétuel questionnement sur tout, à qui je dois fournir des réponses adaptées, claires et, dans la mesure du possible, sans préjugés ; mais une maman qui se rend aussi compte que c'est tout sauf facile, finalement...

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