jeudi 12 janvier 2017

The last face

thelastface.jpg Source Allociné

Synopsis :

Au Libéria, pays d’Afrique ravagé par la guerre, le docteur Miguel Leon, médecin humanitaire, et le docteur Wren Petersen, directrice d’une ONG, tombent passionnément amoureux l’un de l’autre. S’ils sont tous les deux engagés corps et âme dans leur mission, ils n’en sont pas moins profondément divisés sur les politiques à adopter pour tenter de régler le conflit qui fait rage. Ils devront surmonter leurs clivages et le chaos qui menace d’emporter le pays tout entier – sous peine de voir leur amour voler en éclats…


Mon avis :
Ce film est interdit au moins de 12 ans et on comprend aisément pourquoi... Un vrai film de guerre, et les gens comme moi qui évitent ce genre d'images peuvent clairement être heurtés.
D'un autre côté, cela décrit, je pense, assez fidèlement ce que peut vivre le Libéria.
J'ai été touchée et choquée par ce film ; la musique, autant classique, que les chants africains ou encore les Red Hot Chili Peppers s'accorde parfaitement avec les différentes scènes, et c'est assez prenant.
Bref... j'ai beaucoup aimé ce film, que je n'aurais pas forcément choisi, je m'attendais à être touchée, mais peut être pas autant. Les jeux des acteurs sont très justes, et leur histoire émouvante.
A voir !

Partager sur

mercredi 4 janvier 2017

Les petites billes

bolsblog-1.jpg

A Noël, j'ai reçu de ma cousine ces deux petits bols/caches-pots trop mignons... je les adore !
Je n'ai pas su immédiatement ce que j'allais mettre dedans, ni ce que j'allais en faire, mais en passant voir ma petite sœur en rentrant de vacances, j'ai su.

J'avais déjà vu l'idée sur Pinterest, mais elle l'a réalisé avant moi, et j'adore : ces petits bols vont représenter mon objectif santé de l'année.
Non, je ne parle plus de régime, mais de me sentir mieux, de me sentir moi. Maintenant que la chimie ne devrait plus interférer avec les efforts que je fais, j'ai bon espoir.

bolsblog-2.jpg

Dans le petit aux dessins noirs : les petites perles roses, dodues, représentant les kilos que j'aimerais voir s'envoler ; dans celui aux dessins jaunes : il est encore vide, il viendra les accueillir.

J'aime cette idée de visualiser le chemin parcouru. J'aime l'idée de m'encourager en les transvasant et j'ai hâte de partager l'évolution (ou pas !) avec vous !

Partager sur

vendredi 9 décembre 2016

Demain tout commence

demaintoutcommence_blog.jpg
Source Allociné

Synopsis

Samuel vit sa vie sans attaches ni responsabilités, au bord de la mer sous le soleil du sud de la France, près des gens qu’il aime et avec qui il travaille sans trop se fatiguer. Jusqu’à ce qu’une de ses anciennes conquêtes lui laisse sur les bras un bébé de quelques mois, Gloria : sa fille ! Incapable de s’occuper d’un bébé et bien décidé à rendre l’enfant à sa mère, Samuel se précipite à Londres pour tenter de la retrouver, sans succès. 8 ans plus tard, alors que Samuel et Gloria ont fait leur vie à Londres et sont devenus inséparables, la mère de Gloria revient dans leur vie pour récupérer sa fille…

Mon avis
J'ai a-do-ré... et le mot est faible. J'ai peur d'en dire trop, et de vous gâcher le film ! Mais je vous le recommande vivement.
Quand j'ai vu le générique, je me suis dit qu'avec les bandes-annonces, j'avais dû voir toutes les meilleures scènes... Ce n'est pas complètement faux, mais c'est aussi tellement plus que ça... Magnifique. Je n'avais pas autant pleuré au cinéma depuis longtemps...

Partager sur

lundi 28 novembre 2016

La fille de Brest

Oui, 3 billets le même jour, il va neiger, mais je sors du ciné, et j'avais vraiment envie d'en parler à chaud.

lafilledebrest_blog.jpg
Source Allociné

Synopsis

Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis 30 ans, le Mediator. De l’isolement des débuts à l’explosion médiatique de l’affaire, l’histoire inspirée de la vie d’Irène Frachon est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité.

Mon avis

Je ne saurais pas comment l'expliquer, mais ce film m'a bouleversé. Ceux qui me connaissent savent que les infos et moi, ça fait au moins 5, et que je suis souvent la pauvre cruche au courant de rien. C'est volontaire, je veux choisir ce que je sais. Bref, tout ça pour dire que le scandale du Médiator, je ne connaissais pas. Mais j'avais vu la BA donc je savais de quoi le film parlait, et j'avais vraiment eu envie d'en savoir plus.

Je n'ai pas été déçue. On voit tout, on sait tout, on suit l'aventure, si on peut appeler ça comme ça. La bataille serait plus approprié.
J'ai été tellement touché par Irène, on ne peut plus parler de personnage ici, puisqu'elle existe réellement et que c'est son histoire qu'elle nous livre. Tellement proche de ses patients, tellement investie. Elle n'a jamais lâché, même quand juste son mari était là pour lui tenir la main. Magnifique.

Je pense que j'ai été doublement touché, premièrement de par l'information, parce que j'étais vierge de tout préjugés (ou presque... les labos...) et deuxièmement, parce que je me suis sentie proche des patients. Je ne suis pas diabétique, mais j'aurais bien été (ou bien le suis-je encore...) capable de prendre un médicament anorexigène.
Je ne peux que le conseiller, ce film est vraiment excellent. Par contre, âmes sensibles s'abstenir, on est dans un hôpital et on voit vraiment tout...

Partager sur

La fille du train

lafilledutrain_blog.jpg Source Allociné

Synopsis

Rachel prend tous les jours le même train et passe tous les jours devant la même maison. Dévastée par son divorce, elle fantasme sur le couple qui y vit et leur imagine une vie parfaite… jusqu’au jour où elle est le témoin d’un événement extrêmement choquant et se retrouve malgré elle étroitement mêlée à un angoissant mystère.

Mon avis

Je suis enfin allée le voir, 20 ans après tout le monde, mais c'est fait !
Je n'avais pas lu le livre dont le film est tiré, donc je ne pourrais pas comparer. Au début du film, je me suis demandé si j'allais réussir à suivre... J'ai beaucoup de mal avec les changements d'époques, de personnages ; mais finalement, la mise en scène est logique et je n'ai pas eu plus de mal que ça.
Emily Blunt est bluffante, de justesse, dans son interprétation, j'ai vraiment beaucoup aimé la regarder dans La fille du train. Ce n'est pourtant pas un style de film que j'aime aller voir au cinéma, en général, soit j'y vais pour pleurer, soit pour rire ! Mais il m'avait été chaudement recommandé et je n'ai pas regretté !

Partager sur

dimanche 27 novembre 2016

L'histoire de l'amour

L'un des avantage du chômage (oui, maintenant je tâche de voir le verre à moité plein !) c'est que je peux essayer d'assouvir mes envies de films !

Et j'avais envie de vous parler de l'histoire de l'amour, qui est un film magnifique que j'ai vu récemment.

lhistoiredelamour_blog.jpg
Source AlloCiné

Synopsis

Il était une fois un garçon, Léo, qui aimait une fille, Alma. Il lui a promis de la faire rire toute sa vie. La Guerre les a séparés - Alma a fui à New York - mais Léo a survécu à tout pour la retrouver et tenir sa promesse. De nos jours, à Brooklyn, vit une adolescente pleine de passion, d’imagination et de fougue, elle s’appelle aussi Alma. De l’autre côté du pont, à Chinatown, Léo, devenu un vieux monsieur espiègle et drôle, vit avec le souvenir de « la femme la plus aimée au monde », le grand amour de sa vie. Rien ne semble lier Léo à la jeune Alma. Et pourtant… De la Pologne des années 30 à Central Park aujourd’hui, un voyage à travers le temps et les continents unira leurs destins.

Mon avis

J'ai peu de mots pour décrire ce que j'ai ressenti en voyant ce film. J'ai vraiment été très touchée. L'histoire de l'amour, on ne s'y attend pas, on le vit en le regardant, mais surtout, c'est tout sauf une jolie histoire d'amour cousue de fil d'or... Et pourtant.
Je ne peux que vous encourager à aller le voir, si vous trouvez encore une salle qui le passe ! Les jeux sont justes, et les émotions passent très bien. En plus, Gemma Arterton est vraiment très belle, ce qui ne gâche rien !

Partager sur

mardi 22 novembre 2016

Je fais du vide

tri-blog.jpg

Je fais DU vide. Pas LE vide... je n'y arrive pas encore.

C'était le mot Totem de mon année, ça l'est encore. Ça avait commencé un peu avant, mais ça s'est imposé à moi en début d'année.

Le vide a donc commencé malgré moi en amitié. (Je voulais mettre "tri" mais j'ai écrit "vide" lapsus révélateur de la façon dont la situation raisonne en moi) Les gens qui disparaissent en un claquement de doigts, avec des excuses plus ou moins bidons. On est d'accord que parfois, ça ne rime à rien non ?! Bref... Ça plus les amitiés qui changent, sans que tu ne saches vraiment pourquoi. Je ne sais pas ce qui est le pire.

Le tri affectif qui se fait avec le temps en quelque sorte, que l'on subi, les silences qui font mal. Puis, les épreuves qui font ressortir la vraie nature des gens. Même ceux qui sont censé être proches et qui un jour ôtent leurs masques lorsqu'il s'agit d'endosser ses responsabilités. Il ne vaut mieux pas rentrer dans les détails sordides.

Depuis que je suis au chômage, c'est du tri matériel dont je m'occupe. J'ai commencé par toutes ces petites choses que je garde "au cas où", ces petits souvenirs que j'accumule. J'ai remarqué que ça ne m'a rien fait de m'en séparer. Et qu'en plus, ça ne me manque pas. Alors je me suis attaquée à mon armoire de fringues... Les "quand je perdrais du poids", pour Emmaüs ; "celui là je l'ai depuis au moins 10 ans !" pour Emmaüs (les fringues d'avant grossesse, on en parle ?!) ; celles dans lesquelles on ne ressemble à rien, pour Emmaüs... etc. Vous imaginez le truc.
Le résultat, vous l'avez en photo : 4o kgs de fringues pour faire plaisir à d'autres ! Ben le résultat, c'est que je suis super fière de moi ! Et que ça ne me manque pas non plus... J'avais fait pareil avec les bouquins (pour une bibliothèque de village, ravie !) il y a 2 semaines. Ma maison s'allège... Je m'allège.

Le tri n'est pas fini, le vide non plus. Ce qui a changé, c'est que je n'essaie plus désespérément de le remplir.

Peut être qu'un jour, j'arriverai à faire LE vide, faire taire ces petites voix, ces pensées parasites.

Partager sur

jeudi 10 novembre 2016

Niouze letter

Un petit coucou à tous !

Le blog reprenant un petit peu d'activité, j'ai demandé à ma gentille sœur de bien vouloir se pencher sur un relooking et surtout la réactivation de la niouze letter !

Donc je vous invite à faire un tour si me lire à nouveau vous tente toujours !

A très vite !

Bouboulette*

Partager sur

La solitude

lulublog-1.jpg
Je vous présente ma Lulu-Berlue !! ♥

Pour une fois, j'écris un jour où ça va bien, où ma tête est en accord avec mon cœur et mon sourire.

La solitude a longtemps été mon démon, mon pire cauchemar. Après m'être prouvée quelques mois à 19 ans, que je pouvais vivre seule, que j'étais capable de m'assumer, je n'ai plus eu l'occasion d'être seule.
Donc j'ai toujours été entourée, plus ou moins, avec un noyau fixe. Je ne suis donc pas à plaindre, j'ai été exaucée dans un sens.

Paradoxalement, lorsque l'on est en dépression (je n'aime pas dire "tomber"... je préfère tomber amoureuse que tomber en dépression...) on se sent seul. Inexorablement seul, persuadé que c'est réciproque. Entendez : envers le noyau fixe. On a beau faire le compte et avoir des démonstrations de présence, d'affection, d'amitié, d'amour... On EST seul. Seul face à la dépression.

Aujourd'hui, et ce depuis quelques temps, j'ai décidé de tirer le profit de cette situation. J'ai décidé d'oser être seule. De faire les choses que je n'envisageais pas seule avant. Donc maintenant, je vais me balader seule ; je vais au cinéma seule ; je suis même allée à un concert seule ! Et vous savez quoi ? J'y prends du PLAISIR !

Au début, j'ai souffert du manque de partage, de ne pouvoir échanger sur le moment vécu. Et petit à petit, je l'ai considéré comme un trésor, un secret, un genre de jardin secret, pour moi. Et j'ai l'impression que ces bulles de solitude que je m'octroie sont salvatrices, tout comme aller faire du vélo seule. Que je me reconstruis autour. J'aime l'idée de montrer à mes enfants qu'on peut être seul et heureux.

Et aujourd'hui, je suis bien. Heureuse d'y être parvenue.

(Même si le chemin est encore long, même si je sais que demain, je serai peut être incapable à nouveau de voir ma vie sous cet angle)

Partager sur

lundi 17 octobre 2016

What about bruxisme ?!

Frauenlachen mit Lichtreflex auf Zahn

Vous connaissez, vous, ce terme "bruxisme" ?!

Je l'ai découvert il y a peu.... Je vous laisse aller voir ce que notre ami Wiki en dit. Moi je l'ai découvert parce que j'ai l'honneur et l'immense chance de travailler pour une dentiste *ironie*... Et que, il y a 3 semaines, je me suis réveillée en pleine nuit en panique, ne sachant pas pourquoi, hyper inquiète pour mes dents, et que en passant et repassant ma langue dans ma bouche, j'ai fini par comprendre...

J'avais de nouveau fait sauter un bon bout d'émail d'une prémolaire... De nouveau parce que plus jeune, cela m'était déjà arrivé 2 fois, sans que cela m'inquiète plus que ça, les morceaux n'étant vraiment pas gros. Là, c'est différent. Le morceau est gros et en plus, ça m'a permis de me rendre compte que je passe ma journée (et mes nuits...) à serrer les dents, même pas au sens figuré.

Cette constatation m'a fait bizarre. Je ne suis pas particulièrement stressée (de toute façon, avec le traitement que j'ai, ce serait le comble) mais énervée, oui... Et à part réussir enfin à lâcher-prise, je n'ai pas vraiment de solution pour calmer cet état. En attendant, j'ai bientôt RDV chez le dentiste... ce qui va faire du bien à mes pauvres dents jaunes de thé et café, et lui va avoir l'immense joie de me faire faire des gouttières !

Je vais bien, tout va bien......

Partager sur

- page 3 de 123 -